5/09/2015

Suspens, Cigarettes et Rouge à Lèvres…

Par Duygu Çubukçu
Le film noir américain et le cinéma français
Le monde du crime, les détectives alcoolisés et bien sur les femmes fatales.
                                                                                                                           

Dans les années 1940, une vague sans nom a commencé dans le cinéma américain : Films de gangsters, mélodrames psychologiques, films policiers,  etc. sont les appellations utilisées par les cinéastes avant que ne se vulgarise l’emploi du terme ‘’film noir’’.

Cette nouvelle tendance a été acceptée et examinée premièrement par les critiques français. En 1946, Nino Frank qui est journaliste français, a utilisé le nom « film noir » pour la première fois. Ce terme générique capte d’abord la « noirceur morale » qui s’affiche dans les récits enchevêtrés de la série noire. L’expression « film noir » a aussi été utilisée pour montrer le lien entre le réalisme poétique des films français qui datent d’avant guerre et les adaptations des romans américains criminels.

Par la suite, le film noir a été reconnu dans le monde et le cinéma français a commencé à produire ce genre de films de façon subtile. Des grands réalisateurs comme par exemple, Jean-Pierre Melville, ont donné de  merveilleux films et le cinéma français est devenu également pionnier de ce genre de films.

Dans les années 2000, le film noir est considéré comme un genre mort mais je crois que les classiques – d’une cinquantaine d’années – ne vieillissent jamais.

Une dernière remarque, on peut traiter le terme « film noir » comme une technique cinématique à la place d’un genre. Si on découvre le film noir comme un courant esthétique ou un style dans le cinéma, on l’accepte  comme une discipline cinématique. On peut encore voir les influences du film noir sur le cinéma d’aujourd’hui.

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